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Actus du trek

Découvrez les coulisses de BIVOUAQ, notre nouveau magazine

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Il y a environ un an, nous avons décidé de nous lancer dans un projet un peu fou : créer un magazine qui reflète nos passions pour le voyage, le trekking et les aventures humaines. Aujourd’hui, nous sommes fiers de vous présenter BIVOUAQ, qui voit le jour au moment même où nos marques historiques Atalante et Huwans fusionnent et qui a l’ambition de rassembler, tout au long de ses 148 pages, le meilleur de ces deux univers. Suivez-nous dans les coulisses de la création de ce premier numéro !
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La genèse du projet

Tout a commencé un vendredi en fin de journée, autour d’une bière. C’est dans le cadre encore feutré de ce pub écossais proche de notre agence parisienne que nous vient l’envie de créer quelque chose qui nous ressemble. Un magazine qui ne serait pas juste un catalogue de voyages ou l’enchaînement d’articles sans lien entre eux, mais une invitation à (re)découvrir l’identité d’Atalante à travers une série de reportages qui parlent de trekking, de protection de l’environnement ou encore de rencontres humaines qui marquent pour toute une vie.

Nous sommes à un peu plus d’un an de l’annonce officielle de la fusion de nos deux tour-opérateurs historiques, Atalante et Huwans, bientôt réunis sous l’unique nom Atalante. Cette étape importante pour notre entreprise comme pour nos fidèles voyageurs nous semble être propice au lancement du magazine. Le compte à rebours est lancé, il faudra être prêt au moment où nos marques se rassembleront, au moment où nous deviendrons plus forts ensemble.


Voilà l’ambition de notre petite équipe mobilisée sur ce projet, au sein de laquelle chacun trouve rapidement et naturellement sa place.  Photographe de talent qui a découvert sa passion lors d’un voyage au long court en Nouvelle-Zélande, Yann s’occupera logiquement de la partie photos de notre futur magazine et, d’une manière plus générale, de l’iconographie. Quant à moi (Lucas), je mettrai à profit mon passé de journaliste de presse écrite pour prendre en charge la partie rédactionnelle. Convaincus de notre complémentarité, soutenus par notre direction et notre service marketing, nous nous lançons avec enthousiasme dans l’aventure !

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En savoir plus avec Yann, co-créateur de BIVOUAQ

  • « Salut Yann, peux-tu expliquer à nos lecteurs d’où vient ce nom, BIVOUAQ, et pourquoi il a été choisi pour ce nouveau magazine ?

Ça vient d’un grand brainstorm que l’on a eu, avec le marketing notamment, pour lancer le projet de manière officielle. On est passé par plein de noms qui ne fonctionnaient pas. Et puis un beau jour, j’ai levé la tête et je suis tombé sur un livre où il était marqué « Bivouac africain »… ça a fait tilt ! On a tout de suite aimé l’idée car un bivouac, ça évoque un état d’esprit qui nous correspond et qu’on essaye de transmettre sur nos voyages. C’est le fait de s’installer à un endroit et de repartir sans laisser de traces, le confort simple, en pleine nature, avec les étoiles au-dessus de notre tête… Par la suite, on a voulu se distinguer au niveau de l’orthographe, en remplaçant le « c » par un « q », pour avoir ce côté marque qui se différencie niveau style, tout en gardant le sens originel du mot.

 

  • Quel a été ton rôle spécifique tout au long de ce projet ?

Dans un premier temps, on a tous les deux eu un rôle d’organisation, où il fallait réfléchir à beaucoup de choses, dont le sommaire, les choix des reportages, etc. Puis, petit à petit, on s’est divisé les tâches et mon rôle était alors surtout d’avoir de la cohérence globale en termes de visuels et d’images, au niveau de la qualité et des couleurs. Le but était d’avoir une osmose et une atmosphère qui incitent au voyage en donnant un ton et un style à nos reportages. J’ai moi-même été dans le rôle du photographe pour trois reportages : en Islande pour capturer tout ce qui était à base d’eau, en Mongolie pour le côté humain notamment, avec des portraits et des scènes de vie, puis au Brésil avec les paysages spectaculaires de Lençóis Maranhenses. Au retour, il y avait un énorme travail de tri, de retouches, beaucoup de choix à faire et de partis pris aussi. Je me suis aussi mis en relation avec les différents photographes qui ont contribué dans BIVOUAQ, pour les guider dans leur travail et faire des choix, à nouveau.

  • Peux-tu nous partager un ou deux moments mémorables de cette aventure ?

En terme de photos, là où j’ai pris le plus de plaisir, c’était au Brésil, et je suis très satisfait du résultat. Je me rappelle le moment où j'ai découvert avec le drone ces formes abstraites et texturées, couleur caramel. C’était incroyable, je me suis demandé qu’est-ce que c’était que ça ! Et niveau aventure, la Mongolie c’était vraiment quelque chose. Là-bas, ça m’a plu de me challenger niveau photo, car je fais habituellement moins de portraits. Il a fallu parfois faire preuve de patience, déclencher au bon endroit au bon moment… comme ça a été le cas sur la photo que nous avons retenue en couverture !

 

  • Enfin, quels ont été selon toi les principaux défis auxquels nous avons dû faire face ?

Le principal défi c’était de réfléchir à deux pour sortir un chemin de fer cohérent et homogène, qui traite plein de sujets différents et raconte l’histoire d’Atalante. C’était beaucoup de choix à faire, des réflexions, de l’anticipation. Il a fallu se projeter mais aussi s'adapter à un projet en évolution constante et c’est ça qui est intéressant ».

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Tongui, notre partenaire de confiance

Notre expérience et nos compétences en mise en page se limitant à des présentations Canva plus ou moins réussies, nous avons vite pris la décision d’externaliser ce travail colossal en contactant plusieurs agences. Par sa créativité, son humour et sa bienveillance, Anthony Julien a su nous convaincre de lui confier la direction artistique de BIVOUAQ. Le co-fondateur de Tongui a appris à nous connaître, à comprendre notre projet ainsi que l’univers Atalante,  dans le but de nous accompagner au mieux et de bonifier par son talent l’ensemble de nos contenus. « C’est une relation qui s’est construite au fur et à mesure, avec de la découverte et de la séduction, rigole Yann. Petit à petit on a commencé à bien se comprendre et tout a roulé parfaitement ».

En visio ou autour de la grande table carrée installée dans l’entrée de son agence, Anthony a aussi, quand cela était nécessaire, argumenté pour défendre son point de vue et ainsi peser réellement sur l’ensemble des décisions graphiques du magazine. Quant à Guillaume, son énergique associé, il nous a accompagné du début à la fin dans des moments cruciaux de gestion de projet, pour décider du choix des papiers ou de la fabrique du magazine. C’est aussi à ses côtés que nous avons rencontré les équipes de Frazier, l‘imprimerie que nous avons retenue, labellisée Imprim'Vert et qui travaille avec des papiers issus de forêts durablement gérées. « C’est cool d’avoir eu tous ces échanges et d’apprendre sur leurs métiers, apprécie Yann. Et c’était important de les avoir avec nous, d’être accompagnés par des pros. ».

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La tête dans le BIVOUAQ

En Islande, en Italie, au Sénégal, au Kenya, en Mongolie, en Malaisie, au Maroc, aux Canaries ou encore au Brésil… nos différents reportages sauront à coup sûr vous faire voyager. Mais rien de mieux que la présentation de quelques planches pour vous en dire plus sur notre magazine :
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Et maintenant, à vous de jouer !

Vous êtes prêts à embarquer avec nous ? La version numérique de BIVOUAQ est déjà disponible ici. N'attendez pas, l'aventure commence maintenant !