La genèse du projet
Nous sommes à un peu plus d’un an de l’annonce officielle de la fusion
de nos deux tour-opérateurs historiques, Atalante et Huwans, bientôt réunis
sous l’unique nom Atalante. Cette étape importante pour notre entreprise comme
pour nos fidèles voyageurs nous semble être propice au lancement du magazine.
Le compte à rebours est lancé, il faudra être prêt au moment où nos marques se
rassembleront, au moment où nous deviendrons plus forts ensemble.
Voilà l’ambition de notre petite équipe mobilisée sur ce projet, au
sein de laquelle chacun trouve rapidement et naturellement sa place. Photographe de talent qui a découvert sa
passion lors d’un voyage au long court en Nouvelle-Zélande, Yann s’occupera
logiquement de la partie photos de notre futur magazine et, d’une manière plus
générale, de l’iconographie. Quant à moi (Lucas), je mettrai à profit mon passé
de journaliste de presse écrite pour prendre en charge la partie
rédactionnelle. Convaincus de notre complémentarité, soutenus par notre
direction et notre service marketing, nous nous lançons avec enthousiasme dans
l’aventure !
En savoir plus avec Yann, co-créateur de BIVOUAQ
- « Salut Yann, peux-tu expliquer à nos lecteurs d’où vient ce nom, BIVOUAQ, et pourquoi il a été choisi pour ce nouveau magazine ?
Ça vient d’un grand brainstorm que l’on a eu, avec le marketing
notamment, pour lancer le projet de manière officielle. On est passé par plein
de noms qui ne fonctionnaient pas. Et puis un beau jour, j’ai levé la tête et
je suis tombé sur un livre où il était marqué « Bivouac africain »…
ça a fait tilt ! On a tout de suite aimé l’idée car un bivouac, ça évoque
un état d’esprit qui nous correspond et qu’on essaye de transmettre sur nos
voyages. C’est le fait de s’installer à un endroit et de repartir sans laisser
de traces, le confort simple, en pleine nature, avec les étoiles au-dessus de
notre tête… Par la suite, on a voulu se distinguer au niveau de l’orthographe,
en remplaçant le « c » par un « q », pour avoir ce côté
marque qui se différencie niveau style, tout en gardant le sens originel du mot.
- Quel a été ton
rôle spécifique tout au long de ce projet ?
- Peux-tu nous
partager un ou deux moments mémorables de cette aventure ?
En terme de photos, là où j’ai pris le plus de plaisir, c’était au Brésil,
et je suis très satisfait du résultat. Je me rappelle le moment où j'ai
découvert avec le drone ces formes abstraites et texturées, couleur caramel.
C’était incroyable, je me suis demandé qu’est-ce que c’était que ça ! Et
niveau aventure, la Mongolie c’était vraiment quelque chose. Là-bas, ça m’a plu
de me challenger niveau photo, car je fais habituellement moins de portraits. Il
a fallu parfois faire preuve de patience, déclencher au bon endroit au bon
moment… comme ça a été le cas sur la photo que nous avons retenue en
couverture !
- Enfin, quels
ont été selon toi les principaux défis auxquels nous avons dû faire face ?
Le principal défi
c’était de réfléchir à deux pour sortir un chemin de fer cohérent et homogène,
qui traite plein de sujets différents et raconte l’histoire d’Atalante. C’était
beaucoup de choix à faire, des réflexions, de l’anticipation. Il a fallu se projeter mais aussi s'adapter à un projet en
évolution constante et c’est ça qui est intéressant ».
Tongui, notre partenaire de confiance
En visio ou autour de la grande table carrée installée dans l’entrée de
son agence, Anthony a aussi, quand cela était nécessaire, argumenté pour
défendre son point de vue et ainsi peser réellement sur l’ensemble des
décisions graphiques du magazine. Quant à Guillaume, son énergique associé, il
nous a accompagné du début à la fin dans des moments cruciaux de gestion de
projet, pour décider du choix des papiers ou de la fabrique du magazine. C’est aussi
à ses côtés que nous avons rencontré les équipes de Frazier, l‘imprimerie que
nous avons retenue, labellisée Imprim'Vert et qui travaille avec des papiers
issus de forêts durablement gérées. « C’est
cool d’avoir eu tous ces échanges et d’apprendre sur leurs métiers,
apprécie Yann. Et c’était important de
les avoir avec nous, d’être accompagnés par des pros. ».